En 1998, de célèbres écrivains et militants politiques, Parvaneh Eskandari et Daryouche Forouhar, Mohammad Mokhtari, Mohammad Jafar Pouyandeh et d'autre ont été exécutés de façonne lâche et criminelle
Le cœur sans vie de Parvaneh Eskandari et Daryouche Forouhar, respectivement membre et activiste et Secretaire National du Partie du Peuple Iranien(oposition centre), a été retrouvé chez aux, poignardé de 25 et 26 Coups de coutaux
Mohammad Mokhtari, écrivain, chercheur et membre actif de l'association des écrivaines iraniens est retrouvé quelque jours plus tard étranglé, roué de coups, et sans vie
Mohammad Jafar Pouyandeh, écrivain, traducteur et membre actif de l'association des écrivaines iraniens est enlevé le 9 décembre, une semaine après son amie Mokhtari. Le lendemain, sa femme reçois un couds de fils pour aller identifier un cœur dans la médecins légiste de Shahriar une ville du périphérie de Téhéran
Un commission d'enquête gouvernemental est crée par le président Khatami sans réel effet
Saïd Emami (Eslami), Adjoint au sécurité du ministère des renseignement du régime est arrêté et ponté comme le seuls commanditaire et la cellule dit spécial du même ministère comme l'exécutant des meurtre qui au grès des interrogatoire dépasse les intellectuelle nommé auparavant, Majid Sharif, Fereydoun Farokhzad, Sïdie sirjani, Doctor Ghassemlou secrétaire générale du partie démocrate Kurd, ... rallonge le bulletin macabre des meurtre en série. Saïd Emami se suicide dans la prison de Evine avant la fin de ses interrogatoire
L'avocat des Familles Nasser Zarafshan est placer en rétention et écope de plusieurs année de prisons pour divulgation de secret d'État
Akbar Ganji point la responsabilité de plusieurs hauts fonctionnaires du régime iraniens dans sont ouvrage les seigneurs rouge-vêtue. Il passe des année en prison pour divulgation de secret d'État
Aujourd'hui nous célébrons la datte symbolique des dix en de ses atrocité. Les famille demande toujours justice. Le peuple Iraniens demande toujours a connaître les responsable
Le régime refuse et empêche les commémoration ,en barricadans la rue de la maison des Forouhar a l'approche des commémoration, et en empestant la rassemblement sur les tombaux de Mokhtari et Pouyandeh
Yashar Mohtasham - Paris
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